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EleanorForever

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Création : 30/01/2014 à 08:55 Mise à jour : 13/03/2014 à 15:09

Retour au blog de EleanorForever

Deuxième chapitre










Deuxième chapitre








D E U X
S o l v a n g, C a l i f o r n i e , d e n o s j o u r s
 
 
Mourir est facile. Ressusciter en revanche est douloureux.
 
- Oh...
 
Je porte les mains à mon front. D'une coupure au-dessus de mon sourcil coule un liquide chaud et collant.
 
Beaucoup de sang cette fois. Sur mes mains, sur le tableau de bord, gouttant entre mes doigts sur mon jean, formant des taches sombres que je distingue dans la pâle clarté de la lune. C'est sale et effrayant, mais l'accident ne l'a pas tuée. Ne m'a pas tuée.
 
J'ai pris sa place aujourd'hui, je la lui rendrai plus tard. Bientôt peut-être. Cela dépendra du temps qu'il me faudra pour assurer la sécurité des âmes s½urs que je dois protéger. Ou du temps qu'il faudra à Louis pour convaincre un des deux amoureux de se sacrifier au nom de l'amour éternel.
 
Ce qui peut aller vite. Il est très fort à ce petit jeu.
 
Quoi qu'il arrive, Arielle Dragland retrouvera son enveloppe corporelle. En attendant, elle restera dans le royaume où j'ai passé la plus grande partie de mon éternité, dans les brumes de l'oubli, ce lieu où le vide s'étend à perte de vue.
 
Les Ambassadeurs de Lumière m'ont assuré qu'il existe des endroits pires que celui-là, des ténèbres que celui qui a vendu notre amour contre l'immortalité connaîtra un jour. Nourrice n'utilise jamais le terme d'enfer mais j'aime imaginer Roméo en train d'y pourrir. Bien sûr, elle ne parle jamais non plus de paradis quand elle décrit l'endroit que je rejoindrai quand tout cela sera fini. Si cela finit un jour.
 
Sophia évite un grand nombre de sujets. Comme par exemple la somme de magie nécessaire pour m'extirper encore et encore de mes brumes. Plus de trente fois en sept siècles. Pour moi, la vie se contente d'apparaître sans crier gare. Je suis esprit éthéré, et soudain, je me glisse dans la peau de quelqu'un, dans la vie de quelqu'un comme dans un déguisement effrayant.
 
Les derniers instants d'Arielle me traversent et me font frissonner.
 
Je la vois saisir le volant des mains du conducteur et le tourner brusquement juste avant un virage, espérant que ce plongeon dans le ravin les tuerait tous les deux, elle et ce garçon qui l'a trahie. Je me tourne vers le siège du conducteur. Le garçon - Harry - est encastré dans le volant. Immobile. Sans un souffle de vie.
 
Il semblerait qu'une partie du souhait d'Arielle ait été exaucée.
 
Je frissonne de nouveau mais je ne suis pas triste. Je sais ce qu'il a fait et la rage et la honte d'Arielle grondent en moi à mesure que je prends un peu plus possession de sa vie et de son corps. Dans mon cerveau défilent des images de ses dix-huit années d'existence. Je me concentre sur chaque détail afin de faire miens ses souvenirs.


Sur la pointe des pieds, toujours sur la pointe des pieds. C'est ainsi que je monte l'escalier, traverse la cuisine, passe devant le couloir et entre dans la pièce où sont rangés mes crayons et où je peux enfin respirer librement. Loin d'elle. De son regard triste, si triste. Ma mère.

Sept ans, dix ans, quinze ans, dix-huit ans et rien ne surpasse la magie d'une feuille blanche, la promesse que le monde peut être tel que je le crée. Un lieu magique plein d'aventure et de possibles. Une gomme suffit à effacer les erreurs, une nouvelle couche de peinture les recouvre. Noir, rouge et violet. Et bleu. Toujours bleu.

Une couleur froide. Ma mère ne distingue que les couleurs froides.


Que la tristesse. Elle voit mes cicatrices dont elle est responsable. J'avais six ans. Elle considère Perrie, ma seule amie, comme une erreur. Elle ressent ma solitude qui exacerbe la sienne. Je suis le poids, la chose qui a dévoré et gâché sa vie. Elle a toujours cet os en travers de la gorge.
Des os. Parfois, j'ai l'impression de n'être faite que d'os, de n'être qu'un squelette vide et creux. Parfois, je la déteste pour ça, parfois c'est moi que je déteste, parfois je déteste tout et tout le monde et j'imagine l'univers en train de fondre comme la chair fond sur mes os.

La peau sur les os. Maman et moi sommes maigres. Se serrer dans les bras l'une de l'autre est douloureux mais ça n'arrive presque jamais.

Ça n'est pas arrivé depuis des années. Il y a l'hôpital, la douleur, les lampes du bloc opératoire et les longues journées à la maison, la honte en-fouie sous les ombres. Il y a l'obscurité, cet intrus maléfique qui arrive toujours au moment où je crois qu'un jour peut-être je pourrai éclore.

Il y a le lycée et la souffrance d'être invisible, la jalousie, l'envie d'être belle et vraie, comme Perrie. Le sentiment de toujours être spectatrice et jamais actrice. La frustration de ces mots qui ne franchissent jamais mes lèvres, malgré mon désir et mes efforts. Le premier pas qui me mènera sous les feux de la rampe est impossible à effectuer. C'est comme grimper l'Everest. Je déteste les soupirs agacés de M. Payne et les rires étouffés des autres élèves. Je voudrais leur faire mal, leur montrer ce qu'on ressent quand l'angoisse vous empêche de respirer.

Perrie ne m'aide pas. Elle se contente de me répéter de prendre sur moi puis arrête de me raconter ses histoires de sexe, ferme la porte de son monde de couleurs, oublie de passer me chercher pour aller au lycée. Je suis en train de tout perdre. Ma seule amie s'éloigne, mes notes dégringolent, mon esprit perd ses repères ; combien de temps puis-je encore vivre ainsi ? Vais-je réussir à tenir quatre ans à dormir dans cette chambre, à prendre les transports en commun pour me rendre à l'école d'infirmières de Santa Barbara, à vivre avec toujours plus de douleur et de tristesse alors que mon désir le plus cher est de fuir ?

Mais... il y a lui. Son sourire, sa voix qui parvient jusqu'à moi dans les coulisses quand il chante, sa voix qui entre en moi et fait vibrer mes rêves.

Mais mes rêves ne sont que des rêves.

Rien d'autre.

Nous nous embrassons lentement alors que mon c½ur s'emballe.

C'est à ce moment que le texto arrive sur son téléphone. Demandant s'il a enfin pris le pucelage de la cinglée. Il essaie de cacher le téléphone mais trop tard. Je pleure. Je ne suis pas triste mais en colère. Il me propose cinquante dollars - une petite partie de l'enjeu du pari - si je le laisse prendre ce qu'il est venu chercher. J'explose. J'essaie de sortir de la voiture mais il m'attrape par les poignets, me serre. Puis démarre la voiture, me demande de me calmer et me promet de m'emmener ailleurs.

Il n'y a pas d'ailleurs. Je le sais maintenant. Il n'y a que des miroirs qui nous renvoient notre déception et qui se brisent en mille morceaux. Ce sera toujours ainsi. Toujours, même quand j'aurai quitté la maison.

La route serpente devant moi et je décide de tout arrêter. Je refuse de le laisser m'emmener vers la plage où l'immense, le glacial et sombre océan nous attend comme un cauchemar. Je ne peux pas.

Plus jamais.
 
 
 
 
 
 
 

Deuxième chapitre
 
 
 
 
 
 
 

Mes yeux s'ouvrent, l'adrénaline fait frémir mon corps, étouffant la peur, la colère et le désespoir ressentis par Arielle quand la voiture a brisé la barrière de sécurité avant de plonger dans le ravin.
 
Ils sont tombés si vite ; le temps n'a fait d'eux qu'une bouchée. Elle n'a même pas crié avant l'impact. Sa tête a heurté la vitre assez violemment pour fendre la peau de sa tempe et l'étourdir, mais sans la tuer.
 
Malgré les dégâts, elle vivra... qu'elle le veuille ou non.
 
- Tu y arriveras, tu verras.
 
J'ai prononcé ces mots à voix haute bien que je sache qu'elle ne peut pas m'entendre.
 
Je vais agir et améliorer sa vie avant son retour, la rendre sinon belle, du moins supportable. Les Ambassadeurs encouragent leurs convertis à répandre amour et lumière, mais même si ça n'avait pas été le cas, j'aurais désiré le faire. Elle est si triste. Je veux la tirer de cette obscurité, la sauver des Mercenaires qui profitent de proies comme elle.
 
D'un mercenaire en particulier, celui qui toujours s'emploie à gâcher la vie de mes hôtes involontaires avec autant d'ardeur qu'il a gâché la mienne.
 
Car, quelque part, dans la nuit fraîche, poussé par la même énergie qui m'a sortie de la brume, lui aussi a trouvé un corps. Dans un vieux cimetière oublié, il cherche un cadavre assez vieux pour n'être pas reconnu par les habitants de cette petite ville, une âme où se cacher. Les Mercenaires de l'Apocalypse vivent dans les morts dont ils ont le pouvoir de réparer les chairs.

Pendant un moment, je me demande à quoi Louis ressemblera cette fois. Et puis, je décide que ça n'a aucune importance. Vieux ou jeune, gros ou mince, noir ou blanc, l'ennemi reste l'ennemi.

- Aaaahh...
 
Le grognement est émis par le garçon à côté de moi dans la voiture.
 
Je grimace, déçue qu'il soit en vie. En tant qu'ambassadrice de la Lumière, je ne suis pas censée éprouver de tels sentiments mais je n'y peux rien. La guerrière immortelle de l'amour que je suis devenue n'est pas très différente de la jeune fille que j'étais.

L'amour. Parfois cette idée me laisse un goût amer dans la bouche.
 
Mais ce n'est pas plus mal : si nous nous sortons tous deux vivants de cet accident, ça m'évitera d'attirer l'attention de la police. Le monde serait meilleur sans Harry, mais les ambassadeurs ne sont pas autorisés à tuer des êtres humains. Le meurtre nourrit la cause des Mercenaires. Il m'est interdit de prendre une vie, même de façon justifiée.
 
- Il n'est jamais bien de mal agir.
 
Voilà ce que je murmure tout en souhaitant à Harry quelques fractures et quelques douleurs. La vengeance m'est interdite mais Arielle peut un peu profiter de la sienne.
 
– Unnh, gémit le garçon.
 
Je regarde ses lèvres pleines, ses cils soyeux et noirs, ses cheveux châtains qui ondulent sur son front. Des mèches collent à sa peau et un énorme bleu s'est formé sur sa joue. Malgré tout, il est très beau. Ce qui ne l'empêche pas d'être mauvais.
 
Une certaine cruauté transparaît dans l'harmonie de ses traits, mais je ne peux reprocher à Arielle de ne pas avoir vu au-delà de l'apparence.
 
Il n'y a pas si longtemps, j'étais comme elle, jeune et naïve, prête à croire les beaux jeunes gens. Prête à croire en l'amour éternel.
 
Mais j'ai retenu la leçon. Seule la vengeance est éternelle.
 
Le besoin de punir la trahison me donne la force de me battre. Je suis du côté du bien, j'essaie d'empêcher les Mercenaires de l'Apocalypse de détruire la beauté et la bonté encore présentes chez les humains. Le devoir des Ambassadeurs est de préserver leurs protégés et de faire perdurer l'amour vrai et c'est... bien. Mais gâcher l'existence du mercenaire que je combats et faire en sorte qu'il rentre auprès des siens vaincu, sans âme souillée serait mieux encore. Beaucoup mieux.
 
Ces pensées m'aident à repousser la douleur. J'essaie de m'extirper de la voiture. Le capot est écrasé et je ne peux pas ouvrir la portière de mon côté. Les vitres électriques bourdonnent sans bouger quand j'appuie sur le bouton.

Le bouton. Il me rappelle celui que j'ai utilisé lors de ma précédente mission en... 1998 ? 1999 ? Les années se mélangent mais les boutons sont identiques et l'aspect relativement neuf de la voiture me fait me demander en quelle année je suis. Je ferme les yeux pour mieux fouiller dans les souvenirs d'Arielle.

Moins de quinze ans ont passé depuis ma dernière apparition.

Étrange. Mes retours sur Terre sont généralement espacés d'au moins cinquante ans. Les chansons d'amour coulent sur les ondes des radios comme du miel mais les amoureux sincères ne courent pas les rues. Plus les Mercenaires accomplissent leurs sombres desseins - détruire l'espoir, écraser la compassion, inciter à la haine et à la guerre -, plus les couples portés par le destin sont rares.

L'amour n'a rien à voir avec une chute. C'est au contraire une ascension. Comme l'escalade de la face escarpée d'une montagne.
 
Rares sont ceux qui s'en donnent la peine. Très peu atteignent le point critique de la relation, ce moment après lequel les obstacles et les tentations disparaissent.

Certains, comme Louis et moi, deux moitiés d'un même tout, passent leur temps à s'éloigner l'un de l'autre. Suis-je la seule à me battre toujours contre le même ennemi ? Je l'ignore car je ne communique avec aucune autre âme dans la brume. Je ne fais que croiser des volutes sans consistance.

Louis, lui, reste sur Terre, passant d'un corps mort à un autre.

Sophia souligne que si le procédé est déplaisant, Louis profite néanmoins d'un semblant de vie.

Je suis toujours seule. Que je fasse semblant d'être quelqu'un d'autre ou que j'erre dans le grand vide. La vie me manque. Les conversations, les rires, la joie et la douleur me manquent. Me réveiller par une journée claire où je ne verrais pas le mal rôder me manque. Et plus que tout, mon innocence et ma foi en l'existence du bonheur me manquent.

Je parviens à faire croire que je suis pleine de bonté mais, en réalité, je suis trop amère pour être une ambassadrice digne de ce nom et trop jeune pour être aussi désespérée.

J'ai vu défiler les siècles mais je suis morte à quatorze ans et j'ai passé en tout moins de vingt ans sur Terre. Lui, en revanche, continue de vivre et d'apprendre, de repousser la folie en ouvrant grand ses oreilles et en plongeant son regard dans celui des humains. Ses sept siècles d'expérience l'aident à me détruire un peu plus à chaque fois.

Sauf que là... quelque chose est différent. Je le sens. Ce n'est pas seulement que je suis revenue trop vite. C'est autre chose. Et j'en ai la chair de poule.

- Ooooh... bon sang...

Les yeux de Harry s'ouvrent difficilement.

Malgré la pâleur de la lune, je vois qu'ils sont étranges, trop sombres. Ce garçon est bizarre. Je ne suis pas étonnée du tour qu'il a joué à Arielle mais je suis curieuse de savoir ce qu'il va faire à présent.

Comment va-t-il réagir alors qu'elle a tenté de les tuer tous les deux ?

- Arielle ? demande-t-il d'une voix pâteuse. Tu vas bien ?
- Oui... je crois.

Peut-être ne se rappelle-t-il pas ce qui a provoqué l'accident. Si c'est le cas, je ne lui rafraîchirai pas la mémoire. Prudemment, je garde une expression neutre.

- Et toi, ça va ?
- Je... je crois. J'ai l'impression que...

Alors qu'il se penche vers moi, sa voix s'éteint. Il me fixe. Je le devine malgré son visage baissé et les ombres qui dissimulent ses yeux.

Le toit ! Je lève la tête et pousse un soupir de soulagement. Le toit est en verre. J'ai plus que jamais hâte de quitter cette voiture. Si Harry est aussi perturbant à tout juste dix-huit ans, il sera tueur en série avant ses vingt ans.

Ça va aller. Il faut juste qu'on sorte d'ici. Je lève mes mains pleines de sang vers le système d'ouverture. J'essaie d'ignorer Harry qui se penche un peu plus vers moi.

Je triture le mécanisme du toit ouvrant sans résultat. Je vais y arriver et on pourra se faufiler. Je passerai la première.

- Pardon, est-ce que je peux...

Il exhale une haleine chaude dans mon cou. Je retiens un frisson.

– Est-ce que je peux te poser une question ?

Il veut discuter. Charmant.

Je soupire.
 
- Oui, vas-y.
 
Je tire sur les charnières et me rends compte que j'aurais dû pousser. Je soupire de nouveau.
 
- Est-ce qu'on t'a déjà dit que tes cheveux ressemblent à une rivière argentée à la lumière de la lune ?
 
Je jette un coup d'½il dans le rétroviseur. Il a raison. Je ressemble presque à un personnage de conte de fées. D'ailleurs, ce que je distingue de mon visage est également magnifique.
 
Pourquoi Arielle se pensait-elle si laide ? De grands yeux bleus, un petit nez, des lèvres fines. Les cicatrices sur ma joue et ma mâchoire sont visibles mais pas aussi affreuses qu'Arielle le croit. C'est une fille attirante, fascinante même. Elle possède un charme qui donne envie de la regarder.
 
Alors je prends un peu de temps pour m'admirer. Et je me trahis.
 
Harry rit, ses lèvres bien trop près des miennes.
 
– Mais doucement, quelle lumière jaillit de cette fenêtre * ?
 
Non. C'est impossible. Nous n'avons jamais... Il n'a jamais...
 
– Je t'ai manqué, chérie ?
 
Il m'embrasse sur la joue, un baiser rapide et mouillé comme celui d'un enfant.
 
Harry est mort finalement. Et Louis a trouvé un corps.
 
C'est ma dernière pensée avant que ses mains ne serrent ma gorge.
 
 
 
 
 
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
* Roméo et Juliette. Acte II, scène 2
 
 
 
 
 
Voilà, voilà on entre un peu plus dans l'histoire, j'espère que ça vous plait!
si vous avez des questions n'hésiter pas, je réponds à tous les com'
_by Izzy
Un petit ♥  pour être prévenue!
Faites tourner si vous pensez que cette fiction pourrait intéresser vos lecteurs.
Je suis répertoriée ici, passe donner ton avis!
 
Tags : Eleanor Calder. ♥, Louis Tomlison ♥, Harry Styles ♥., Sophia Smith ♥, EleanorForever, Perrie Edwards ♥
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#Posté le jeudi 06 février 2014 10:42

Modifié le jeudi 13 février 2014 09:05

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Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.235.55.253) si quelqu'un porte plainte.

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mustbeperfect, Posté le jeudi 27 février 2014 08:43

hum


EleanorForever, Posté le jeudi 27 février 2014 08:42

mustbeperfect a écrit : "c'est bizarre"

Oui, c'est vrai que le début est vraiment bizarre! Mais il faut lire la suite pour en savoir plus! ;p


mustbeperfect, Posté le mercredi 26 février 2014 18:59

c'est bizarre


EleanorForever, Posté le jeudi 13 février 2014 15:15

adrianaFrancescalima2 a écrit : "magnifique chapitre , je veux déjà savoir la suite perso"

Aww merci, ca fait plaisir de lire tes commentaires :)
Je suis heureuse que tu lise le "livre" grace à moi!
Chapitre 3 dans une semaine ma belle :)
Biz - Izzie


adrianaFrancescalima2, Posté le jeudi 13 février 2014 10:16

magnifique chapitre , je veux déjà savoir la suite perso


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